Appartements du général

Une pièce carré, au quatrième étage du donjon, un lit collé au mur Nord, une malle devant ce lit. Une table, trois sièges, des outils de travail et des rangements commodes.
Aldred regardait par la petite ouverture dans le mur les hommes d'armes effectuer leur ronde.

*Ils savent ce qu'on attend d'eux.*

Pensa t-il en se rendant a son bureau, sans prendre la peine de s'asseoir il prit un parchemin fraîchement arrivé par un coursier.

"Quelles seront les nouvelles aujourd'hui ?"

Dit-il pour lui même a haute voix.

Un grand homme marchait dans les couloir accompagné de ses 2 gardes qui le suivait de prés.... ils prirent la direction de apartement du chef des armés... ils arrivèrent devant une grande prote... les 2 soldats ce mit en position devant la porte... Le Seigneur tape sur la lourde porte...

Entendant qu'on toquait a sa porte, Aldred fit signe a son écuyer d'ouvrir. Ce que fit le jeune homme avec rapidité et un cri d'exclamation en voyant le seigneur des lieux.

Intrigué par la surprise de son page, Aldred se retourna et lorsqu'il aperçut son suzerain, tomba également sur un genou, tête baissée et le poing droit reivé sur son coeur.

"Seigneur Carstein..."

Dit-il d'une voix grave et mélodieuse.

il s'avança dans le bureau et fit signe au chef de guerre de ce relevé...

"J'aurai voulu vous demandé plusieur chose... J'aimerais que la paix entre les humains et les nains continu... Je connais asser bien le chef de guerre nain... Et j'aimerais donc vous le présenté..."

Conrad faisait les 100 pats dans le bureau...

"J'ai aussi penssée a instauré une nouvelle lois sur mes terres... Tout les hommes de plus de 14 ans seront réserviste pour l'armé... Qu'en penssée vou?"

Conrad continué de marchait dans le bureau...

Aldred se releva avec révèrence et s'approcha de son bureau.

J'allais justement vous proposer une série de réformes destinées a reformer l'armée et le systême de défense du royaume...

Il se racla la gorge et dit:

Certes ces réformes seraient couteuses, mais a terme nous n'aurions plus rien a craindre des pillards et des raids punitifs. Seules les grandes invasions nous seraient pénibles.

Puis il dit:

Quand au maître d'armes Nain, je le rencontrerais avec grand plaisir.

VIOLE ALFRED ET SENFUIT