La suite de sa Seigneurie de Troublezo

Un immence couloir trés droit (comme ca aucun assassin pourras se dissmuler dans un coin...Il n'y en a pas! iahaha) et interminable vous aménes devant une énorme porte en chéne massif...trés massif...la porte es superbement décoré...enfin...si vous arrivez à la voir à travers le contingent de gardes royaux qui garde le couloir et la porte...

Une fois la porte ouverte...si on vous laisse entrer, vous tombez dans une piéce immence...Au fond, encadré par deux immence vitraux, se trouvent le colossal lit à baldaquin de soie et de velour de couleur violette et noire...

A gauche se trouve une armoire immence contnant les habits royaux...et les fourrures... sur la droite se trouve un grand bourreaux avec tous un tas de paperasse jeté en vrac dessus, une petit porte méne à l'immence salle d'eau...

L'endroit est assez grand pour faire entrer un beaux paquet de monde, d'ailleur les nobles se disputent le droit de dormir aux pieds du roi, à même le sol (genre Versaille)...

Des gardes ici aussi, nuit et jour...sans compter Rex, le troll garde du corps du Roi...une brave bébéte si on oublie ses deux mètre dix de pure bétise......

Le mage Conseiller à la cour, fidèle serviteur de Son Altesse Sérénissime Walden de Troublezo, avançait lentement dans l'étroit et droit couloir menant aux appartements de ce dernier. Son bâton de métal claquait contre le sol de pierre aussi froide que dure, annonçant son arrivée.
Immédiatement, les gardes lui firent barrage de leur corps et lui adressèrent la parole de manière fort martiale.

"Conseiller, que faites vous dans ces lieux à cette heure. Venez-vous brisez la quiétude du seigneur? Il ne veut être dérangé sous aucun prétexte!"

Habitué au manège des soldats, Allatar laissa paraître son impatience par un bref geste d'agacement de sa main libre. De ses doigts, au milieu du mouvemente, il forma quelques runes dans les airs.

"Laissez-moi passer, soldats! L’affaire que j'ai à traiter avec notre seigneur ne saurait souffrir de retard."

La voix du mage avait changée de l'ordinaire. Basse, captivante et mélodieuse,le son même en était un enchantement. Sagesse et raison en émanaient avec le plus grand naturel et le désir s'élevait en ceux qui l'écoutaient de paraître sages eux-mêmes par un rapide agrément.
Les soldats, sous le charme, s'inclinèrent respectueusement devant le visiteur et le laissèrent passer.
Allatar ouvrit lui-même avec peine la lourde porte de chêne et pénétra dans la chambre.

"Sire?..."

Un froissement de papier plus tard, Walden se redressait de son bureau, vouté comme à son habitude, donnant l'impression que quelqu'un allait le battre dans la seconde... Ses yeux verreux se posérent sur le conseller alors qu sa main droite, couverte de bague glissait dans son dos, cachant quelque chose...

Le roi était toujours vétue de ses habits royaux, ses lourds manteaux de fourure devenant horrible sur lui, même sa couronne semblait terne...

"Qui Qui Qui y a t-il?...."

Encore ragaillardi par l'effet de la potion ingurgitée plus tôt, le mage conseiller à la cour paraissait en pleine santé malgré sa frêle carrure.
Il s'approcha du seigneur, une main tenant son bâton, l'autre, découverte, la paume tournée vers le souverain. Sa posture calculée inspirait douceur et loyauté.
Son visage était éclairé d'un sourire rassurant alors qu'arrêté à six pas de son suzerain (paranoïa de Walden oblige), il s'inclina respectueusement.

"Ce n'est que moi, votre humble conseiller.
Pardonnez que j'interrompe votre quiétude, Votre Altesse Sérénissime, Oh Noble Seigneur de tous les hommes, mais je vous apporte mes conseils pour des affaires d'état pressantes..."

Le mage se redressa, mais resta légèrement courbé afin de ne pas dépasser par la taille son maître. Les humeurs de ce dernier lui étaient familières et bien qu'il répugnât s'adonner à de telles flagorneries, il savait pertinemment qu'elles étaient nécessaires pour entretenir la confiance limitée que lui portait Walden de Troublezo.

Walden hocha la tête dans ce qui ressemblait à un oui, le tout arrosait d'une grimace que seul son visage immonde pouvait espérer réaliser...

"Oui oui....des a...a...affaire d'Etat...CO...comment se porte les trou trou troupes envoyé co...con...contre l'avant-garde Drow?"

Walden se tourna vers son bureau dissimulant son parchemin sus une pile de live avnt de vite refaire face au conseller...On ne sais jamais...un coup de poignard dans le dos est si vite arrivé...

"Je ne m'y suis pas rendu personnellement, mais ma vision porte loin. L'affrontement est proche mais n'a pas encore été lancé. Votre chevalier, ce sire d'Ambre, est un homme étrange... et difficile à cerner... je crains qu'il soit en cet instant au pouvoir de l'ennemi... Si tel est votre désir, je pourrai me rendre au camp et lancer l'assaut à sa place.
Mais tout ceci n'est qu'une bagatelle sans importance dont l'issue ne fait aucun doute. Une force aussi pitoyable ne peut en rien menacer votre pouvoir. Ce sont d'autres préoccupations qui m'amènent en vos nobles appartements."

Le mage recule d'un pas et va s'asseoir dans le fauteuil recouvert de fourrures le plus éloigné du seigneur. Il était las de courber l'échine devant le monarque et cette nouvelle posture permettait à Troublezo de garder l'ascendant sur lui.
Après avoir poussé un léger soupir, il poursuivit.

"J'ai appris que vous aviez récemment pris à votre service personnel une jeune magicienne. Vous serez sans doute contrarié d'apprendre que cette dernière a disparu le soir même de son arrivée. Certains rapports que j'ai reçus laissent entendre qu'elle aurait été vue dans le campement drow... Je m'inquiète donc quant à sa loyauté.
Et ce qui m'inquiète plus encore, est le fait que des espions elfes noirs parcourent vos terres impunément, foulant aux pieds l'édit de votre chevalier leur interdisant d'arpenter Fédéris sans une escorte de la garde. Il ne faut donc pas nous étonner que les plans de la forteresse aient disparus de la salle du conseil..."

Le conseiller se tut, laissant au monarque le soin de digérer ses paroles et observant la moindre réaction de son seigneur avec un plaisir cynique parfaitement dissimulé.

Avez vous déja vue quelqu'un se décomposer vivant? Ou alors fondre dans ses fourures?...Eh bien c'est ce qui se passait...Walden se sentit soudain transpirant, trahit de tous les côtés...le chevalier avec les drows...la sorciére aussi...Ah! Une silhouette ailé!!!! non...c'est juste un oiseau...

Le Seigneur s'aggripa à son bureau, avakant plusieur gorgé d'une petite bouteille d'alcool qui trainait la...

" Ce...ce...Ce sont de fafafacheuses nounouvelle en effet...fet... Il....Il faut punir les traitraitres... Pre...Prenez avec vous 2000 hommes de vovovotre choix et dodonnez l'assault sur ce camp drdrows...Tuez les tous...et la sorciére avavec..."

Le conseiller se releva, un fin sourire sur les lèvres, et s'inclina en une parfaite révérence devant le monarque.

Il en sera fait selon votre désir, votre Altesse Sérénissime.

Le conseiller quitta à reculons les appartements du monarque jusqu'à ce qu'il eût refermé la porte.
Il traversa à nouveau le long couloir menant aux appartements princiers pour se rendre à l'Arsenal.

Walden soupira, soulagé et reprit plusieur gorgée de son vin....La lettre qu'il avait recu de son maitre l'avait terrifié...Que voulait-il dire par "Jour du Jugement, l'Accusé est Dieu...."